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…dans la jungle marketing, web, luxe & cosmétiques thierry mugler a atteint des sommets! 22 octobre 2007 thierry mugler a créer la toute première plate-forme d’échange entre fans de la marque a étoile. parfait exemple des possibilités qu’offrent le web 2.0, la blogalaxy ose surfer sur la toile, loin de la rétissence des ses concurrents du luxe. la blogalaxy permettra aux fans des fragrances de poster leurs avis, de discuter autour des nouveaux produits de la marque, d’échanger, etc. en attendant la révélation le jour j, on retient son souffle avec la version béta du site. l’accès étant réservé à quelques bloggeurs privilégiés, faites confiance à marc menant (passion luxe) qui était présent à l’une de ces soirées « célestes » pour décrire l’engouement des fans autour de ce projet très stratégique… blogalaxy permettra: - de faire glisser progressivement le public du off-line (boutiques) vers le on-line - de qualifier sa cible - de créer du buzz en recommandant à ses amis - de cibler ses efforts de promotion grâce aux bloggeurs-prescripteurs - de ne pas étouffer les visiteurs puisque la démarche est pro-active et non intrusive toutefois, je suis c urieuse de l’évolution crm d’un tel projet: quel est l’intérêt d’un site qui se limiterait à des discutions sur la marque? en ce sens le blog ne risquerait-il pas de s’essouffler, voyant ses taux de retour diminuer avec le temps? la marque fera nécessairement des efforts d’animation de la plate-forme, relancant l’intérêt général. quel sera l’utilisation promotionnelle de cet outil? j’imagine que la marque prévoit de tester ses nouveaux produits, concepts, auprès de son public online. mugler a bien cerné l’avantage d’un public de bloggeurs: des focus group gratuits et immédiats, vivier de futurs acheteurs. a mugler de les traiter comme il se doit… posté dans cosmetiques , e-crm , luxe & internet , luxe expérientiel , marketing communautaire | aucun commentaire » conférence abc-luxe: internet et le luxe 11 octobre 2007 abc-luxe a réuni lors d’une conférence des experts du référencement, de l’hébergement et des stratégies marketings afin de faire le point sur les bonnes pratiques à adopter… résumé. 1) aujourd’hui, ce n’est plus la réticence vis-à-vis d’un média jugé trop populaire mais la crainte d’un défaut de maîtrise qui freine le développement des sites des marques de luxe sur internet via des sites vitrines ou marchands. ignorance des structures et faible maîtrise du fonctionnement engendrent une appréhension qui freine leur lancement. evidement, l’éventail des possibilités qu’offre le web 2.0 du point de vue collaboratif implique que les marques se risquent à communiquer différement voire avec audace, à créer du buzz, etc. c’est a priori sur ce point que les enseignes du luxe restent frileuses: le buzz autour d’une information a pour vocation de passer de mains en mains, de se déformer, de prendre de l’ampleur… a l’instar des stratégies de contrôle d’une image. 2) le rôle d’ internet est d’accompagner l’achat et non de supplanter le contact physique en boutique. en effet, les internautes viennent tout d’abord sur les sites pour, dans l’ordre, y chercher des images, puis des prix et enfin pour acheter. il est effectivement délicat pour les marques de luxe de visualiser un second circuit de distribution, dont l’aspect « sélectif » serait diffilement contrôlable et qui ne viendrait pas cannibaliser le premier. je reste persuadée que les deux circuits de distribution peuvent se rendre des services selon un schéma d’échanges de bons procédés… par exemple: internet permet à un visiteur de se faire une idée des produits de la marque, de son image et incitera le futur acheteur à se rendre en boutique pour toucher l’objet/avoir un contact vendeur/ etc, la transaction étant onéreuse. inversement, internet permet en étant une vitrine virtuelles, la diminution des coûts de stockage des produits. le circuit retail pourra à loisirs utiliser le web pour écouler un stock trop encombrant, pousser à la vente un article ou encore réserver à son site la vente exclusive de produits qu’elle ne désire plus en boutique (accessoires par exemple). c’est, à mon sens, par ces manoeuvres de distribution de produits que le luxe pourrait continuer de maîtriser son image… 3) l’aspect technique (hébergement, référencement, mots clés,..) est le facteur clé de succès d’un projet de luxe sur le net. raphaël richard met en garde contre le parasitisme, l’utilisation abusive de mots clefs, le risque de « position squatting »… et précise que les bons référenceurs ont toujours une longueur d’avance pour anticiper les nouvelles techniques de référencement qui apparaissent chaque année. quant à benoît guignard, fondateur de i-nove, société spécialisée dans l’hébergement sur internet, il insiste sur l’importance de l’architecture technique et de l’hébergement pour assurer un retour sur investissement maximum et garantir la performance du site. 4) le site internet d’une maison de luxe doit être considéré comme un outil complémentaire dans la stratégie marketing mais en aucun cas comme un média secondaire. il reste enfin à noter que, si les maisons de luxe ne voient plus aujourd’hui internet comme un mal nécessaire, il leur reste encore à découvrir tous les avantages en termes de relation client qu’elles peuvent en tirer, voire extrapoler de nouvelles manières de dialoguer avec leurs clients. internet devra être perçu avant tout comme un extraordinaire outil de crm qui permet de mieux connaître, mieux servir et mieux dialoguer avec les clients, à savoir les éléments clés d’une stratégie de luxe. posté dans e-crm , luxe , luxe & internet | aucun commentaire » le prisme de tous mes désirs… 10 octobre 2007 probablement comme beaucoup de femmes, j’ai dévoré les magazines de la rentrée, découvrant avec gourmandise les nouveautés cosmétiques de2007… mais rien ne pourra me faire dévier de l’objet de tous mes désirs… la collection « prisme » de givenchy est l’exemple parfait des packaging de mes rêves: un boitier original, un rappel de l’identité de la marque (pour le sortir en soirée!!), des palettes de couleurs flashy allant des bruns caramel aux roses fushia, des poudres légères, compactes ou minérales, et une irrésistible envie de croquer un de ces carrés de chocolat (vous aussi vous voyez bien du chocolat, rassurez-moi): en bref un objet cultissime. toute la gestuelle y est « givenchy ». pour la poudre libre par exemple: on s’accroche aux angles noirs du couvercle pour l’ouvrir, on dépose l’éponge ronde sur des petits trous typiques de la marque laissant s’échapper la poudre, on retourne le boitier d’une main (geste « shake & mix »), ce qui laisse découvrir tous les angles du prisme et ses couleurs puis on applique la forme culte sur le visage. un parfum subtil et délicat. prismissime! posté dans cosmetiques , luxe expérientiel | aucun commentaire » médias: à chacun son gay! 10 octobre 2007 campagne blackxs paco rabanne apparement, la lucrative communauté homosexuelle est vue d’un autre oeil… j’adore la « nouvelle télé réalité ». fini les filles en string au bord d’une piscine ou des paumés en quête de célébrité enfermés dans un loft décoré tout ikéa. c’est out! la nouvelle realtv, c’est celle qui nous ressemble: « cherche appartement ou maison », « d&co », « super nany », « c’est du propre » (m6), confessions intimes sur tf1 (ma préférée!). depuis quelques mois, on sent bien la tendance « quota gay » soumettre les émissions du paf. et ce n’est pas pour me déplaire! mais qu’en pensent les principaux intéressés? se sentent-ils ciblés comme un segment de marché classique ou ont-ils la désagréable sensation que les médias les utilisent comme image à sensation (ex: coming out dans le loft , montage exagéré de vincent macdoom dans la ferme , etc)? les apparitions publicitaires en fin de programme s’adressent-elles à la bonne audience: par exemple, le parfum blackxs de paco rabanne parle-t-il aux spectateurs de prison break ou aux fans de